… Ce que j’ai vu, c’est simplement un poème, un grand poème qui mélange projection vidéo, lecture et musique. Un très beau poème… On est dans l’évocation… Cosima Weiter lit… elle fait dialoguer son regard sur son regard poétique sur ces bâtiments de la radio, ces vieux bâtiments de la radio avec les voix des anciens employés de cette radio qu’elles a rencontrés et qui lui ont raconté la vie qu’il ont donnée à ces lieux… Elle nous permet d’entrer dans son regard sur Berlin, dans la vie de ces gens de radio, anciens gens de radio… De façon assez subtile, ces changements de registres entrent en résonance avec les images qu’Alexandre Simon voit sans qu’on soit dans l’illustration, jamais. {La musique est} la troisième pulsation du spectacle. Elle est aussi centrale et poétique que les images et les textes… Les sons retravaillés électroniquement vont agir comme des coups de fouet pour briser le discours de Cosima Weiter où au contraire lui donner un rythme pour le porter plus haut…Un spectacle riche et poétique… Il y a un très beau dialogue qui s’instaure entre texte, images et musique.


Dare Dare, RSR 2, 18 novembre 2009, Marc Bermann :
                                 

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Funkhaus est une création atypique… Voyage poétique, Funkhaus ne dénonce rien, il réanime des fantômes, ceux des animateurs mais aussi ceux des agents de la propagande. Funkhaus est en fait un spectacle hanté.

Info Matin, RSR1, 18 novembre 2009, Michel Masserey
                                  

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