Jean-Philippe Roy débute en 1977 au Théâtre de Carouge-Genève sous la direction de François Rochaix. Éclairagiste indépendant dès 1981, il conçoit régulièrement l’éclairage d’opéras mis en scène par François Rochaix et scénographiés par Jean-Claude-Maret notamment au Grand Théâtre de Genève. Avec le metteur en scène Claude Stratz et le décorateur Ezio Toffolutti, il met en lumières plusieurs pièces à la Comédie de Genève, à l’Opéra de Lausanne et à la Comédie Française. Il travaille également pour la Compagnie Vertical Danse de la chorégraphe Noemi Lapzeson, et collabore régulièrement avec le Théâtre du Loup, le Théâtre Am Stram Gram, le Théâtre de Poche, ainsi qu’avec de nombreuses compagnies indépendantes à Genève et en Suisse romande.


Depuis quelques années, il travaille également avec le metteur en scène Jean Liermier à l’opéra, La Flûte enchantée à Marseille, les Cantates profanes de Bach à Strasbourg, Les Noces de Figaro de Mozart à Nancy. Pour le théâtre, Penthésilée de Heinrich von Kleist à la Comédie Française, Le Médecin malgré lui de Molière pour le Théâtre de Vidy-Lausanne et Le Jeu de l’amour et du hasard de Marivaux au Théâtre de Carouge-Genève.

 
Plus récemment, il travaille pour la compagnie de danse 7273, pour la Comédie de Genève, Les Corbeaux de Henry Becque mis en scène par Anne Bisang, pour le Théâtre du Loup, La Disparition de Suzy Certitude de Corinne Müller, Isabelle Sbrissa et Éric Jeanmonod ; au Capitole de Toulouse, Andrea Chenier d’Umberto Giordano, mis en scène par Jean-Louis Matinoty.